La réponse du Père Brice de Malherbe
Quelle tristesse ! En tout cas, vous n’êtes pas du tout coupable de la mort de cet enfant puisque vous n’avez pas donné votre accord, vous n’étiez même pas au courant.
Pourquoi votre petite amie a posé un acte aussi grave sans vous en parler avant ? C’est important de faire la vérité là-dessus en en parlant ensemble. Pour redéfinir les bases de votre relation, vous pourrez vous appuyer sur la force du pardon.
Quoique vous décidiez pour l’avenir, vous pouvez confier votre amie et votre enfant dans la prière à l’amour de Dieu. Lui seul juge le fond des cœurs, et comme l’écrit Saint Jean : « si notre cœur venait à nous condamner, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît tout » (1 Jn 3, 20).
Si vous ressentez le besoin d’en parler ou désirez vous confier, sachez que vous pouvez rencontrer un prêtre, dans la paroisse la plus proche de chez vous, ou à Saint-Louis-d’Antin (Paris 9e).
Laissez-vous aussi réconcilier et éclairer par la prière :
S’abandonner à Dieu | Se réconcilier avec soi-mêmeDes associations sont là pour vous aider et vous soutenir, rencontrez-les :
Accompagnement, écoute | Discernement, conseil